bientôt il n'y a plus qu'un cheval imaginaire et son double esseulé qui s'éloigne, qui s'éloigne dans le matin pâle la fête est finie (sculptures de Marc Morvan pour la fête "Deizéquilibre" à Concarneau) l'aurore roucoule poussant sur la nuit qui arque...
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village veillant sur le mariage du ciel au goût des fruits mûrs bleue dans l'herbe rase elle m'attend sur le chemin prune de septembre d'autres images des villages de corrèze (et d'ailleurs) album
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à la viscosité compacte, salée, charnelle de la mer toujours j'ai préféré la liberté des eaux courantes dont on ne sait quelle énergie les fait chanter ni quelle source les engendra elles sont nos errances et nos voyages nos chimères sans défense contre...
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géant disparu il y a 30 ans qui mérite toutes les majuscules moment sublime que celui où l'on peut recevoir les facettes du génie qui se glisse dans tous les champs de l'art, plastique, de l'imprimerie, de la matière et de l'infini poésie où baigne cette...
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je faisais, il y a peu, l'éloge d'une insolence aussi nécessaire que combattive, dans un espace où nous ne saurions plier sans nous vendre, ou nous rendre les mots insolence et impertinence se trouvent donc souvent réunis dans une proche signification...
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comme si les mots finissaient toujours par rattraper le réel on a beau les cacher sous l'emphase ou la torsion du sens, ou l'imprécision des vérités affleurant et tout particulièrement dans ce face à face télépathique avec le vide d'un écran - aussi plat...
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Le post d'hier se termine par une sorte d'injonction colérique à aimer le bonheur. Un peu court, j'en ai conscience ! Qui que ce soit qui lise ces lignes (ah! le beau temps - dans les 50 dernières années au moins - où j'avais mes fidèles correspondants...
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En ce moment même, comme toujours - mais s'en apercevait-on de façon si incisive avec la belle insolence d'être jeune - des amis disparaissent. Je veux dire qu'ils meurent. Comme nous tous. Comme moi. Avec plus ou moins d'évidence Etre au seuil d'une...
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à mon corps qui n'en fit qu'à sa tête... à ma tête qui ne fit pas qu'un corps... à nos corps, à nos têtes, et à ce qui les réunit, parfois, de loin en loin ... travail exécuté au cours d'un atelier (avec le peintre concarnois Michel Costiou) dont le thème...
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c'est un mot qui revient sans qu'on sache de quelles éraflures d'enfance dont le respect du prétendu supérieur égratignait nos pensées, nos trépignements un petit mot joyeux qui faisait exister le moi et sa cohorte de silence, un mot jaune comme un rire...
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je ne parle ni d'utilité commerciale, ni de tourisme à consonance historique, ni d'architecture, ni de rencontres à faire parler. je veux dire la solitude impérieuse du marcheur rythmée par la seule nécessité des méandres de pieds enlacés aux méandres...
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Chroniques, poésies, photos, créations pour illustrer mes voyages, mes rencontres avec les humains solidaires, avec l'Art et les cultures, ici et partout ailleurs. Livres parus à ce jour : "lettres d'Anisara aux enfants du Togo" (Harmattan), "Villes d'Afrique" et "Voyager entre les lignes" (Ed. Le Chien du Vent)